|
|
Ligne 35 : |
Ligne 35 : |
| et aider les membres des organismes d’action communautaire à prendre leur place | | et aider les membres des organismes d’action communautaire à prendre leur place |
| dans les processus de développement local. | | dans les processus de développement local. |
− |
| |
− | <br />
| |
| == Historique: == | | == Historique: == |
− | L’histoire du secteur formation de l’action
| + | À compléter... |
− | communautaire autonome est intimement liée à l’histoire de l’éducation
| |
− | populaire autonome, et plus largement, à ce qu’il convient d’appeler l’éducation
| |
− | des adultes. Cela dit, la constitution du secteur formation est tributaire de l’adoption
| |
− | de la politique de reconnaissance et de soutien de l’action communautaire
| |
− | (PRAC) qui a été adoptée en 2001 par le gouvernement du Québec'''''.'''''
| |
− | | |
− | Dans le cadre de la mise en œuvre de la Politique de
| |
− | reconnaissance de l’action communautaire, adoptée par le gouvernement du Québec
| |
− | en 2001, le ministère de l’Éducation du Québec (MÉQ) a revu ses programmes
| |
− | PSÉPA ET PSAPA[i] afin de s’harmoniser avec la politique. Le MÉQ
| |
− | a donc identifié lesquels '''''groupes de formation''''', parmi les 1000 organismes communautaires
| |
− | financés par le PSÉPA ET PSAPA pour la réalisation d’activités éducatives,
| |
− | étaient plus directement reliés à sa mission éducative. De ce grand ménage, le Ministère a retenu 160
| |
− | organismes qui seraient dorénavant soutenus financièrement pour leur
| |
− | mission. Le MÉQ les a regroupés en
| |
− | quatre secteurs : les groupes d’alphabétisation populaire, les écoles de
| |
− | la rue, les groupes de lutte au décrochage scolaire et les groupes de formation
| |
− | continue. Les autres organismes ont vu le soutien financier suivre leur
| |
− | transfert vers un autre ministère « d’appartenance ».
| |
− | | |
− | En 2002, le MEQ adoptait aussi sa
| |
− | Politique en éducation des adultes[ii]
| |
− | et un plan de mise en œuvre de celle-ci. L’adoption de cette politique est
| |
− | importante dans le contexte de la mise en œuvre de la Politique en action
| |
− | communautaire au sein du MEQ. Bien qu’ayant participé à États généraux sur l’éducation,
| |
− | au grand Chantier de la formation continue et aux consultations sur la
| |
− | reconnaissance de l’éducation populaire autonome, les groupes sont déçus de la
| |
− | prédominance d’une vision de l’éducation axée surtout vers l’acquisition des
| |
− | connaissances de base et vers les compétences pour l’emploi. La formation
| |
− | continue tout au long de la vie, la variété des lieux et modes d’apprentissages
| |
− | à une citoyenneté active et l’approche d’éducation populaire autonome y sont
| |
− | presque qu’absentes. Les organismes auront donc toujours à insister et faire
| |
− | reconnaître leurs particularités face au MEQ qui s’appuie sur une vision de la
| |
− | formation continue dans une approche plus formelle.
| |
− | | |
− | '''C’est donc dans ce contexte que naîtra la COCAF. Nous tenterons de tracer
| |
− | 4 périodes'''[iii]''' dans son évolution et de sa courte existence.'''
| |
− | | |
− | '''De la Bande des 9 au
| |
− | COCAF'''
| |
− | | |
− | En février 2003, la Table des fédérations et organismes
| |
− | nationaux en éducation populaire autonome (Table des Fédés, maintenant
| |
− | dissoute) invite à une première rencontre les 9[iv]
| |
− | organismes communautaires autonomes nationaux ou régionaux reconnus par le Ministère
| |
− | de l’Éducation du Québec (ancêtre du Ministère de l’Éducation et de
| |
− | l’Enseignement Supérieur - MÉES) dans le secteur formation continue. Ces
| |
− | organismes venaient d’être informés de leur reconnaissance et financement pour
| |
− | leur mission, pour l’année 2002-2003''','''
| |
− | par le nouveau Service des programmes aux organismes communautaires (SPOC) mis
| |
− | sur pied par le ministère de l’Éducation du Québec dans le cadre des plans
| |
− | d’action de la ''Politique d’action communautaire'' et de la ''Politique de l’éducation des adultes dans une
| |
− | perspective de formation continue'' et qui avait le mandat de développer le
| |
− | programme d’action communautaire sur le terrain de l’éducation (PACTE). C’est à
| |
− | cette rencontre que la '''Bande des 9'''
| |
− | (organismes), nom utilisé à l’interne pendant les premières années, mettent sur
| |
− | pieds le '''Comité des Organismes Communautaires
| |
− | Autonomes''' '''de Formation''' (COCAF) pour
| |
− | apprendre à se connaître comme secteur, partager de l’information, trouver un
| |
− | dénominateur commun, mesurer ensemble les enjeux du transfert, intervenir
| |
− | collectivement et représenter les groupes dans la mise en place de
| |
− | l’application de la PRAC au MEQ et le développement du nouveau programme PACTE
| |
− | et ce, pour un temps, avec le soutien de la Table des Fédés.
| |
− | | |
− | Cette instance nous permettrait aussi de développer des liens
| |
− | et des alliances avec les autres secteurs reconnus au MEQ en vue de développer
| |
− | des positions et des stratégies communes dans la mise en place et le
| |
− | développement du PACTE afin de lui assurer sa concordance avec les principes de
| |
− | l’ACA et le respect du fonctionnement et des réalités des groupes.
| |
− | | |
− | En 2003, le sous-ministre adjoint de la Direction générale de
| |
− | l’éducation des adultes reconnaît le COCAF comme représentant des organismes du
| |
− | secteur formation continue dans les instances de consultation du ministère de
| |
− | l’Éducation du Québec touchant les organismes d’action communautaire autonome
| |
− | et défraie les frais de participation à ces instances. De 2003 à 2005, le COCAF
| |
− | se réunit surtout pour partager l’information et débattre des positions autour
| |
− | du programme de financement du MELS, se référant constamment au cadre de
| |
− | déférence élaboré par le Comité Aviseur en Action Communautaire Autonome
| |
− | (CA-ACA) et autour des enjeux plus large de l’action communautaire autonome.
| |
− | | |
− | C’est aussi dans cette même période que le MEQ annonce une
| |
− | enveloppe spécifique pour la mise en œuvre de la Politique d’éducation des
| |
− | adultes dans laquelle 800 000$ seront réservés pour accueillir des projets
| |
− | qui s’arriment à cette politique et sa mise en œuvre. Les premières demandes
| |
− | déposées par les groupes du COCAF seront toutes refusées. Intégrée au PACTE
| |
− | seulement depuis 2013, cette enveloppe demeure aujourd’hui la même, toujours
| |
− | liée à la politique en éducation des adultes et formation continue de 2002,
| |
− | bien que maintenant réservée aux groupes financés au PACTE avec toute la
| |
− | gymnastique que cela impose.
| |
− | | |
− | '''CONSOLIDATION - 2005-2009'''
| |
− | | |
− | En janvier 2005, la COCAF dépose au MEQ une première demande
| |
− | de financement pour son travail de concertation, consultation et fonctionnement
| |
− | autre que le remboursement des frais de participation comme secteur aux
| |
− | instances gouvernementales de consultation, surtout que l’offre de services de
| |
− | la Table des Fédés venait de prendre fin. Une première petite subvention lui
| |
− | sera accordée à même les sommes résiduelles du PACTE et non à titre d’organisme
| |
− | accrédité.
| |
− | | |
− | C’est aussi au même moment qu’un nouveau groupe reconnu
| |
− | s’ajoute à cette première bande des 9, le Centre d’Animation, de Formation et
| |
− | d’Accompagnement, CAFA (grande région de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec).
| |
− | En novembre 2005, arriveront ensuite le Groupe Femmes, Politique et Démocratie
| |
− | (GFPD) et le Center for Community Organisations (COCo). Et L’Aut’Montréal se
| |
− | joint à nous en 2006. C’est aussi en 2008 que le Centre de Formation Sociale Marie
| |
− | Gérin Lajoie, en attente d’accréditation, est invité à se joindre à la COCAF.
| |
− | | |
− | En 2006, toujours concerné et intéressé de jouer un rôle
| |
− | significatif au sein du mouvement d’action communautaire autonome, le COCAF a
| |
− | demandé à se joindre au CA-ACA. En réponse à cette demande, le CA-ACA a créé le
| |
− | secteur formation et a accepté la COCAF comme représentante de ce secteur, bien
| |
− | qu’il n’ait pas de statut juridique formel.
| |
− | | |
− | De 2004 à
| |
− | 2007, un financement non récurrent pour les activités de la COCAF a été obtenu par
| |
− | l’entremise du Centre régional de formation de Lanaudière qui a accepté d’être mandataire
| |
− | de ce projet durant ces années. En 2006-2007, la COCAF entreprend ses
| |
− | démarches d’incorporation afin d’être reconnue officiellement et financée par
| |
− | le MEQ pour réaliser ses objectifs. C’est à cette occasion que de Comité nous
| |
− | prenons le nom de '''Coalition''' des OCAF
| |
− | conservant ainsi le même acronyme. Reconnue en 2007, la COCAF pourra donc
| |
− | déposer comme les autres OCAF une première demande de financement au MEQ.
| |
− | | |
− | En plus de
| |
− | la démarche d’incorporation et tout son travail de représentations et débats autour
| |
− | des enjeux du PACTE et du travail avec les autres groupes «alliés »
| |
− | financés au même programme, la COCAF commence à vouloir développer son identité
| |
− | pour porter collectivement un regard plus large, permettre à ses membres de
| |
− | s’apprivoiser, se connaître dans leurs différences et particularités. De
| |
− | regroupement forcé par les évènements et le contexte de départ, il émerge le
| |
− | défi d’aller plus loin et développer une cohésion. Le 16 mai 2007, la COCAF
| |
− | organise la première journée de réflexion pour ses membres. Les objectifs de
| |
− | celle-ci étaient de se connaître et de partager sur les enjeux actuels des
| |
− | organismes communautaires autonomes de formation.
| |
− | | |
− | Depuis son assemblée générale de fondation, la COCAF poursuit la
| |
− | consolidation de son fonctionnement et de ses mécanismes de communication. Ses
| |
− | membres suivent de près les enjeux de la reconnaissance et du financement du
| |
− | MELS ainsi que ceux du 2<sup>e</sup> plan d’action de la ''Politique d’éducation des adultes et de formation
| |
− | continue'' grâce à la présence de ses représentants et représentantes au
| |
− | comité mixte et au groupe de travail MELS-OACA. La présence de la COCAF au Réseau québécois de
| |
− | l’action communautaire autonome (RQ-ACA) permet d’approfondir les enjeux de la ''Politique de l’action communautaire'' et de
| |
− | promouvoir l’importance de la formation continue pour les membres et les
| |
− | personnes travaillant dans les OACA.
| |
− | | |
− | La COCAF organise
| |
− | une fois par année une journée de formation/réflexion pour ses membres. Les
| |
− | sujets qui y ont été abordés : Que veut dire le travail de transformation
| |
− | sociale pour nos organismes? Partager sur nos pratiques de formation, les
| |
− | Intelligences citoyennes. Ces journées permettent de s’inspirer des pratiques
| |
− | innovantes mises en place par les groupes membres ou par d’autres afin
| |
− | d’améliorer le travail de formation continue de chacun d’entre nous. Mais aussi
| |
− | plus largement, elle initie une journée ouverte pour l’ensemble du mouvement communautaire
| |
− | portant sur les enjeux autour de la reddition de compte réunissant des
| |
− | bailleurs de fonds et les organismes mettant ainsi les premières bases du rôle
| |
− | que la COCAF peut jouer au sein du mouvement d’ACA.
| |
− | | |
− | '''UN RÔLE QUI
| |
− | SE PRÉCISE ET SE VOIT - 2010-2014'''
| |
− | | |
− | La COCAF est à un moment charnière de son
| |
− | existence. Elle entre dans une étape qui l’amène à aller plus loin. La COCAF
| |
− | organise un premier Lac à l’Épaule avec comme orientation de se donner un temps
| |
− | pour se poser ensemble les questions suivantes : agir collectivement :
| |
− | Mais dans quoi? Comment? Et Pourquoi? Bref, autre que le financement, quelle
| |
− | serait le rôle et la mission de la COCAF. Le Lac à l’Épaule de décembre 2010
| |
− | jette donc les bases de chantiers pour répondre à ces questions :
| |
− | | |
− | Ø Alimenter un
| |
− | discours commun pour nous faire connaître le travail des OCAF;
| |
− | | |
− | Ø Dégager un
| |
− | énoncé de base sur ce qu’est un OCAF;
| |
− | | |
− | Ø Clarifier
| |
− | notre mode de fonctionnement pour faciliter la collaboration entre les OCAF;
| |
− | | |
− | Ø Développer
| |
− | un site pour donner une fenêtre publique et visible de notre travail et mission;
| |
− | | |
− | Ø Revoir nos
| |
− | règlements et critères d’adhésion.
| |
− | | |
− | La COCAF a
| |
− | toujours fonctionné en partageant le travail entre ses membres que ce soit le
| |
− | travail d’organisation logistique ou administratif ou encore le travail de
| |
− | représentation. Ces chantiers sont donc pris en charge par les membres en
| |
− | sous-comités de travail.
| |
− | | |
− | Le travail des comités porte
| |
− | fruit. La COCAF adopte officiellement son énoncé de mission, revoit ses
| |
− | règlements généraux, précise les critères d’adhésion de ses membres, continue
| |
− | de dégager des temps de formation pour permettre à ses membres de mieux se
| |
− | connaître, resserrer leurs liens, se tenir au courant des enjeux portés par
| |
− | chacun et, enfin, elle décide de déposer un projet collectif au MELS pour un
| |
− | évènement ouvert à l’ensemble du mouvement communautaire. La COCAF précise
| |
− | aussi les principes qui guident le travail de la COCAF soit : la
| |
− | transformation sociale, la solidarité, la collaboration et la démocratie. Un
| |
− | logo est adopté et le site internet voit le jour.
| |
− | | |
− | De 2012 à 2014, la COCAF prendra
| |
− | le relais et soutiendra l’organisation de l’Université Populaire d’Été avec la
| |
− | thématique :
| |
− | | |
− | Ø
| |
− | ''Transformation sociale ou réparation sociale? Le rôle
| |
− | politique dans les OCA''. 2012
| |
− | | |
− | Ø
| |
− | ''De la militance individuelle à la mobilisation
| |
− | sociale. Nouvelles formes d’engagements et renouvellement des pratiques dans
| |
− | les mouvements sociaux !'' 2013
| |
− | | |
− | Ø
| |
− | ''Laboratoire de concepts: ces mots/maux qui dictent nos
| |
− | actions'' 2014
| |
− | | |
− | En ce qui concerne tout le
| |
− | brassage qui se fait autour de la mise à jour de la politique en éducation des adultes
| |
− | et formation continue au MELS (PÉA), il est décidé de nous investir au comité
| |
− | de la PÉA mis sur pieds au sein de l’ICÉA[v]
| |
− | pour nous assurer de bien faire ressortir la particularité du travail des OCAF
| |
− | et de l’ÉPA dans cette nouvelle politique. Cette implication amènera la COCAF
| |
− | et ses membres à participer à l’évènement '''24
| |
− | heures pour un Québec apprenant''' en mai 2013.
| |
− | | |
− | La COCAF demeure très active
| |
− | et veut jouer un rôle important au sein du RQACA en participant aux assemblées
| |
− | générales, en discutant des dossiers portés sur révision du droit associatif, contre
| |
− | la volonté d’identifier les organismes d’ACA comme lobbyisme, les PPP sociaux,
| |
− | la révision du cadre de référence en AC du gouvernement, la semaine de
| |
− | visibilité de l’ACA,…) et assurant son implication au comité exécutif et au
| |
− | comité d’échange sur le financement et la reconnaissance.
| |
− | | |
− | Le dossier du financement des
| |
− | OCAF au MELS (nouveau nom du MEQ) constitue aussi son dossier prioritaire. Ses
| |
− | discussions et ses représentations auprès des alliés et des instances de
| |
− | consultation et de négociation au MELS s’appuient sur les revendications
| |
− | suivantes : la reconnaissance de la particularité des OCAF, le
| |
− | redressement de la situation financière des OCAF pour un traitement équitable
| |
− | des organismes financés, l’indexation annuelle et une augmentation
| |
− | substantielle de notre financement à la mission.
| |
− | | |
− | En 2013, le Carrefour de
| |
− | Développement Social par l’Éducation Populaire (CDSEP), nouvellement accrédité
| |
− | au MELS se joint à la COCAF portant ainsi à 15 le nombre de membres actuels.
| |
− | | |
− | | |
− | | |
− | [i] Programme de Soutien à l’Éducation Populaire Autonome
| |
− | et Programme de soutien à l’Alphabétisation Populaire.
| |
− | | |
− | [ii] Gouvernement du Québec, ministère de l’Éducation.
| |
− | Politique gouvernementale d’éducation des adultes et de formation continue,
| |
− | 2002
| |
− | | |
− | [iii] La présente histoire résulte d’un parcours des
| |
− | procès-verbaux des rencontres de la COCAF de 2003 à 2016. Ces documents ne sont
| |
− | pas publics et le parcours synthèse qui en résulte relève de l’auteur et ne se
| |
− | veut pas scientifique. Des erreurs peuvent involontairement s’y glisser.
| |
− | | |
− | [iv] Centre St-Pierre, Relais Femmes, Centre de Formation
| |
− | Populaire, Communautique, La Puce ressource informatique, Centre de Formation
| |
− | Communautaire de la Mauricie, le Centre de Pastorale en Milieu Ouvrier, Centre
| |
− | Régional de Formation de Lanaudière, Centre de Documentation sur l’Éducation
| |
− | des Adultes et la Condition Féminine.
| |
− | | |
− | [v] Institut de Coopération en Éducation des Adultes.
| |
− | | |
− | <br />
| |
| == Principales réalisations/événements marquants == | | == Principales réalisations/événements marquants == |
− | <br />
| + | À compléter... |
| == Membres, instances ou structures et représentations == | | == Membres, instances ou structures et représentations == |
− | <br />
| + | À compléter... |
| == Principales sources de financement == | | == Principales sources de financement == |
− | <br />
| + | À compléter... |
| == Voir aussi == | | == Voir aussi == |
− | <br />
| + | À compléter... |
| == Références == | | == Références == |
− | <br />
| + | À compléter... |
- Permettre une réflexion commune sur les pratiques
d’éducation populaire autonome;
- Développer la capacité d’analyse des personnes impliquées
dans les organismes communautaires à l’égard des réalités vécues et des enjeux
sociaux;
- Favoriser l’engagement social, individuel et collectif, dans
le milieu de vie;
- Permettre aux personnes impliquées dans des organismes communautaires
de revoir leurs - attitudes et comportements vis-à-vis des communautés
marginalisées;
- Soutenir les personnes impliquées dans des organismes
communautaires dans leur volonté de créer de nouvelles alliances, d’élargir
leur cercle de citoyen-ne-s engagé-E.-s et de renforcer leur pouvoir
d’influence;
- Soutenir les milieux dans leurs interventions
et aider les membres des organismes d’action communautaire à prendre leur place
dans les processus de développement local.
À compléter...
À compléter...
À compléter...
À compléter...
À compléter...
À compléter...